Canada/ Les élus de Plessisville comblent les places vacantes dans trois comités
À la suite des élections municipales, plusieurs places sont restées vacantes, notamment au sein du comité d’analyse des demandes d’aide financière, du comité consultatif d’urbanisme et du comité responsable des chiens potentiellement dangereux ou dangereux. Les membres du conseil qui pourvoiront dorénavant ces postes ont ainsi été désignés lors de la dernière séance du conseil municipal.
C’est Rémi Brassard qui siègera maintenant au comité d’analyse des demandes d’aide financière en compagnie de Christine Gingras, qui se rendra disponible si celui-ci se trouve dans l’impossibilité d’agir. Pour ce qui est du comité consultatif d’urbanisme (CCU), Christine Gingras remplacera Sylvain Beaudoin au sein de l’équipe. Rappelons que le CCU vise à présenter des recommandations aux élus à propos de divers projets en lien avec l’aménagement du territoire.
En remplacement de Marc Gendron, Valérie Desrochers siègera, quant à elle, au comité responsable des chiens potentiellement dangereux ou dangereux. Pour finir, la conseillère Joanie Bédard représentera la Ville au sein du conseil d’administration du Festival de l’érable.
Partenariats avec La Loutre et le Mont Apic
Les amateurs de sports d’hiver pourront profiter d’un partenariat avec le Mont Apic. Ainsi, les résidents de Plessisville auront l’occasion de se procurer un billet journalier à la station à 50% de rabais le 7 et le 22 février 2026. Les adeptes de ski de fond plessisvillois pourront également obtenir une entrée gratuite pendant la saison 2025-2026 à La Loutre. “Le Mont Apic fait partie, entre autres, de la valeur régionale. Il y a quatre installations de notre région qui font partie de ce concept. La MRC octroie beaucoup d’argent régulièrement au sein de ces endroits. Notre rôle à la Ville, c’est de leur permettre de croître et d’avoir de la clientèle. Ça aide aussi nos familles qui ont moins de revenus”, a soutenu le maire, Marc Morin.
La Ville de Plessisville mettra également à jour l’emprunt par obligations de 3 202 000 $. Ce montant sert à plusieurs projets amenés par la Ville et il s’agit d’une pratique courante de revoir celui-ci en raison des taux d’intérêt changeants. L’exercice se fait normalement tous les cinq ans.
Source: www.lanouvelle.net/
