Internationaliser la coopération Nord-Sud en matière d'éducation

Publié le 16/09/2017 | La rédaction

L’Afrique a toujours condamné les pays du Nord de n’avoir pas transférer les technologies ce qui justifie l’état peu technologique des pays du sud. La connaissance est la chose la plus sacrée pour un homme ou une nation, la transférer serait quasi chose impossible.

Il serait donc opportun de nouer des relations de coopération entre établissement primaire, secondaire du sud et du nord pour un transfert de technologie de façon plus diluée,  à l’exception des travaux sur l’imposition des normes éducatives par les bailleurs. L’internationalisation de l’éducation porte presque exclusivement sur l’enseignement supérieur. Les recherches faites par courrier et alt. sont un bon exemple de la coupure effective au sein de la recherche éducative, induite pour une part par des habitudes universitaires mais aussi par des orientations théoriques, méthodologiques et thématiques parfois spécifiques les différents niveaux et enseignement (public, privé, laÏC  ou confessionnel) sont concernés par l’internationalisation qui les touche de manière transversale et aussi de façon conséquentielle.

L’analyse que nous proposons ambitionne de rompre avec la fragmentation traditionnelle de la réflexion scientifique.

La presque quasi-totalité des établissements du sud primaire et secondaire en particulier ne possèdent pas de cadre adéquat pour la réflexion scientifique et technique, l’on assiste à un poste de soudure pour cinquante élèves une internationalisation de l’éducation tout en portant sur les différences des pays et degré technologique, l’on pourrait par exemple procéder à la réalisation des cours par télé conférence tant pour l’enseignement général que technique celui – ci lèvera le voile ou le mythe qui plane sur le système éducatif du nord et sur les inventions, les fabrications faites par les élèves et étudiant du nord.

Tout en concentrant leur étude sur les modalités de l’internationalisation et sur la manière dont s’élaborent les politiques publiques, nationale d’éducation. Les différents acteurs dans ce processus de mondialisation de l’école construiraient des stratèges comme l’octroi des bourses qui contribueraient au développement donnant la chance au brillant démunis du sud.

Il ne s’agit plus d’investir dans l’homme mais dans le service. Cet aspect de l’internationalisation de la coopération entre établissement du nord et du sud sur l’éducation, la création et l’invention est encore peu étudier parce qu’il s’agit d’un développement récent.

BAHOKEN BALATA Claude Désiré


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