Le Vietnam s’intéresse à la protection des droits de l’enfant

Publié le 07/07/2020 | J&P

Viet Nam

L’ambassadrice Lê Thi Tuyêt Mai, cheffe de la Mission du Vietnam à Genève, a insisté sur l’attention et la priorité accordées par Hanoï à la protection des droits de l’enfant en temps de conflit armé, lors de séances de la 44e session du Conseil des droits de l’Homme des Nations unies en Suisse.

Le Conseil des droits de l'Homme des Nations unies a commencé le 1er juillet sa réunion annuelle sur les droits de l'enfant par une table ronde intitulée "Un environnement sain en tant que préoccupation relative aux droits de l’enfant : préparer le terrain". Les jours après, le Conseil a entendu des rapports présentés par les représentantes spéciales du secrétaire général chargées, respectivement, de la question de la violence contre les enfants, Najat Maalla M'jid, et du sort des enfants en temps de conflit armé, Virginia Gamba. De nombreuses délégations ont pris part au dialogue qui a suivi cette présentation.

Lors de ces séances, l’ambassadrice vietnamienne Lê Thi Tuyêt Mai a dénoncé la violence contre les enfants et les violations des droits de l’enfant. Elle a affirmé la volonté de coopération du Vietnam, avant d’appeler à respecter les principes fondamentaux du droit humanitaire international et la Convention relative aux droits de l'enfant pour protéger les civils, notamment les enfants, lors des conflits armés. La diplomate a également insisté sur la nécessité de prendre des mesures pratiques pour minimiser les impacts des conflits armés sur les enfants, de résoudre les causes racines des conflits et de soutenir la réinsertion sociale des enfants ayant participé à des groupes armés. Elle a en outre souligné l’importance d’agir pour protéger le droit de vivre dans un environnement sain.

À cette occasion, plusieurs pays ont également appelé à une coopération plus profonde entre gouvernements, entreprises, instituts d’études et organisations sociales, dans la garantie des droits de l’enfant et du droit de vivre dans un environnement sain. Ils ont jugé nécessaire de renforcer les partages d’expériences, la solidarité et la coopération internationale pour promouvoir les droits de l’Homme et ceux de l’enfant.

Source:    www.lecourrier.vn/

J&P


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