France/Jumelage : une délégation anglaise de Chichester espérée fin avril à Chartres

Après deux années de léthargie pour cause de Covid 19, les Amis des jumelages de Chartres espèrent voir le bout du tunnel. Une délégation anglaise de Chichester est espérée fin avril à Chartres.

« En matière d’échanges internationaux, il ne s’est pas passé grand chose depuis deux ans », résument, d’une même voix, Patrick Géroudet, conseiller municipal délégué à la promotion de la Ville et aux relations internationales, et Claire Crézé, présidente de l’association des Amis des jumelages de Chartres. « En 2021, nous avons juste reçu une délégation italienne de Ravenne ».

Une délégation nettement moins nombreuse que les années passées, en raison du contexte sanitaire. « Nous n’avons pas pu faire la sortie que nous avions prévue, ni organiser notre traditionnel repas partagé », déplore Patrick Géroudet. 

Grâce à Internet, l’association a quand même pu entretenir certains contacts. « Nous avons pris un abonnement à la plateforme de visioconférences Zoom », précise Patrick Géroudet. « Nous avons ainsi pu maintenir une visioconférence par mois avec nos amis anglais ». 

Heureusement, l’avenir semble s’éclaircir : « Une délégation de Chichester est attendue fin avril à Chartres », précise Claire Crézé. « À l’Ascension, une délégation chartraine doit se rendre à Spire, en Allemagne, mais il n’y a encore rien de concret. À la Pentecôte, une trentaine de Chartrains sont attendus à Ravenne, en Italie. Et enfin, à la Toussaint, nous attendons une délégation d’Évora, au Portugal ». 

« Plus aucun contact avec Cusco au Pérou depuis 20 ans »

« Avec Chichester, Spire, Ravenne et Évora, ça se passe bien », analyse Patrick Géroudet. « Avec Sakuraï aussi, mais là, le problème, c’est la distance et le coût du voyage. Avec les autres villes, c’est plus compliqué. Nous n’avons plus aucun contact avec Cusco, au Pérou, depuis vingt ans. Avec Leon, en Espagne, et Bethléem, en Palestine, il n’y a pas d’association de jumelage. Les contacts passent directement par la ville et c’est plus ou moins compliqué selon les élus en poste ». 

Source:    www.lechorepublicain.fr